Pour bien vivre ensemble à Suresnes !
Nous sommes un collectif de Suresnois, regroupant toutes les sensibilités de la Gauche, soucieux des enjeux sociaux et écologiques dans notre ville.
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Notre projet à Suresnes
Nous – membres du collectif Suresnes Sociale Écologique – sommes fiers de vous annoncer que nous porterons un projet d’alternance pour les municipales 2026 qui prenne vraiment en compte les besoins des Suresnoises et Suresnois.
Notre démarche unitaire vise à rassembler toutes les forces de gauche, de l’écologie et la societe civile des différents quartiers de la ville.
Notre collectif est né de la victoire aux élections législatives de 2022, amplifiée en 2024, de la députée Sabrina Sebaihi et de son suppléant Jérôme Pellerin.
Pour soutenir notre démarche, enrichir notre projet et renforcer notre collectif, rejoignez-nous.
Contact e-mail: suresnessocialeecologique@gmail.com
Contrat de mandat 2020-2026 : un bilan municipal en trompe-l'oeil
Ce bilan rappelle les promesses de M. Guillaume Boudy pour une ville solidaire, conviviale, durable, innovante.
Nous avons analysé dans le détail les engagements du maire, après 5 ans de mandat.
Résultat, une politique réelle faite encore et toujours, comme son prédécesseur, au détriment de la classe moyenne et des classes populaires, un enclavement des quartiers et une absence totale de considération pour le changement climatique et son impact local
BÉTONISATION ET DES LOGEMENTS TOUJOURS PLUS INACCESSIBLES
Travaux partout pour viser les 50 000 habitants, l’esprit de village de Suresnes est mis à mal. Les services, les transports, les commerces ne suivent pas. Le maire promettait dès 2021 une stratégie urbaine co-construite avec les habitants, il n’en est rien.
La réhabilitation d’une partie de la Cité-jardins est lancée. Passoires thermiques, cohabitation avec les moisissures, explosion des factures d’énergie justifient cette réhabilitation. Le hic, c’est la méthode : pas de discussion en amont, les locataires ne sont pas associés, seulement informés a posteriori ! Devant la montée du mécontentement, le maire et Hauts de Seine Habitat ont convenu du droit au retour avec un prix du m2 inchangé. Mais aussi avec beaucoup de non-dits : quel pourcentage de logements sociaux passeront dans la catégorie intermédiaire beaucoup plus chère ? Quel pourcentage de logements seront transformés en accession à la propriété ? Combien disparaîtront du fait de la diminution des surfaces avec la mise en place d’ascenseurs ? En fait sur les 758 logements concernés par la réhabilitation, combien restera-t-il de logements avec les loyers actuels ? Et quid des charges ? Comment évolueront-elles avec les nouveaux ascenseurs ? Et qui paiera le 2e déménagement ?
Toujours pas de bilan annuel du logement ! Pas de transparence sur les conditions d’attribution. Est-ce pour masquer l’absence de construction de logements sociaux, dont le pourcentage est passé de 40% en 2002 à 34% en 2024. Ou est-ce pour cacher le pourcentage de logements et bureaux vacants ?
ENFANCE, UN MANQUE DE PERSONNEL ALARMANT
Si une famille suresnoise n’a pas les moyens d’employer à domicile une assistante maternelle, il ne lui sera pas aisé de trouver une place en crèche. Le manque chronique de personnel qualifié s’accompagne d’un désintérêt du maire. Suresnes, ce sont 20 crèches privées et ce malgré les scandales de maltraitance à répétition comme People & Baby. Dans ce contexte, nous exigeons plus de transparence sur les critères d’attribution des places en crèche publique.
Le modèle suresnois de petites écoles de proximité montre ses limites. Classes qui ferment année après année, fragilisation des structures malgré l’engagement des équipes éducatives, saupoudrage et retard des travaux (les passoires thermiques attendront !), le maire n’utilise ni son pouvoir ni son influence pour changer la donne. Il découvre en réunion publique la situation critique à l’école Albrecht ou l’incident grave de porte à l’école Pontillon. Il laisse faire le manque de personnel dans les centres de loisirs et le système de réservation défaillant.
Le maire combat peu le manque d’ATSEM (agents territoriaux des écoles maternelles), le manque d’AESH (accompagnements des élèves en situation d’handicap), le manque d’AED (assistant d’éducation) dans le secondaire, le manque d’infirmière ou de psychologues scolaire. La réussite et l’épanouissement scolaire ne sont pas des priorités pour notre maire et vice-président du conseil départemental. Il semble s’accommoder du séparatisme social avec le contournement du public, pourtant de bonne qualité à Suresnes, pour le secteur privé.
Quant aux promesses de scolarisation des très jeunes (dès 2 ans) et d’outils innovants pour l’apprentissage des langues étrangères, elles restent caduques.
QUAND LA CULTURE DEVIENT UN DIVERTISSEMENT MERCANTILE
Où est la nouvelle fête des vendanges plus participative annoncée dans le contrat de mandat ? Supprimée après 36 éditions qui auront marqué des générations de Suresnois. Pourtant l’idée était bonne et possible comme le montre le succès de Parades à Nanterre. Mais tout se passe désormais à la terrasse du Fécheray avec Auto-Retro ou le concours de la baguette sponsorisé par Nutella.
Lorsque la ville veut se donner les moyens d’organiser un spectacle participatif avec différents acteurs culturels, elle en a les moyens comme « La mer des histoires ». Il faudrait multiplier ces initiatives car Suresnes avait ce savoir-faire qui permettrait de soutenir des intermittents du spectacle et d’aller à la rencontre de chaque quartier de la ville.
Où est la culture accessible à tous les Suresnois ? Où est le Passe Loisirs promis ? Le maire semble préférer des bus depuis Porte Maillot pour se rendre à Jean Vilar plutôt que des transports depuis les quartiers de Suresnes et donner envie aux familles modestes de fréquenter le théâtre, par exemple en impliquant davantage les élèves, le conservatoire, les médiathèques. Trop de maisons de quartier sont inadaptées aux besoins de proximité avec les habitants.
MOBILITÉS, BEAUCOUP DE PROMESSES NON TENUES ET DES TRAVAUX MAL GÉRÉS.
Métro ligne 2, batobus sur la Seine et bus express vers Paris, promenade aménagée au bord de seine, tous promis par le maire, absents ! Les alternatives à la voiture attendront. Au profit des mobilités inter-Suresnes ? Non plus. L’AS (Autobus suresnois) manque de dessertes et de fréquence, le plan vélo est timide avec seulement +135 mètres de bandes cyclables entre 2020 et 2024 et du surplace sur les aménagenements des grands axes. Les travaux de partout contraignent et rendent dangereux les déplacements y compris sur les trottoirs, comme rue Rouget de Lisle ou à la Croix du Roy. Le boulevard Henri Sellier combine plus que jamais congestion, pollution et dangerosité.
TRANSITION ÉCOLOGIQUE, L’ABSENCE DE PLAN CLIMAT EST IRRESPONSABLE
Le maire promettait une maison du développement durable dès 2022, une coulée verte en 2024, un bilan de la biodiversité, une charte haute qualité environnementale, des trophées pour l’écologie, où sont-ils ?
Nous condamnons la baisse des subventions aux associations environnementales, l’absence de plan climat local et absence de plan d’adaptation du territoire au déréglément climatique
Nous déplorons le manque d’investissement pour des projets qui engageront Suresnes pour longtemps, comme la rénovation du centre-ville. C’est seulement 200,000 euros qui sont alloués pour ce chantier en 2025 sur un budget de fonctionnement total de 165 millions d’euros. Ridicule !
Aux îlots de fraîcheur (arbres, fontaines, désartificialisation des sols), la mairie préfère les îlots de chaleur, le béton comme rue du Fécheray ou l’esthétisme des ceps de vignes aux arbres, qui pourraient faire de l’ombre. Enfin, le quartier Ecluses-Belvédère aura un second square avec le square Saint-Exupéry. Sur l’ensemble de la ville de Suresnes, ce sont à peine 200 arbres qui ont été plantés en 4 ans et des essences à la hauteur limitée, qui ne font pas d’ombre.
Enfin, le coût de collecte des déchets est élevé. La ville tarde à installer les solutions de compost malgré la loi, ne change pas les fréquences de collecte et ne lutte pas assez efficacement contre les dépôts sauvages. Conséquence, les Suresnois se plaignent de la prolifération des rats.
SÉCURITÉ, ATTENTION, VOUS ÊTES CERNÉS
Le poste de police promis dans le haut de Suresnes par Guillaume Boudy pendant la campagne des municipales est aux oubliettes. La police municipale semble éloignée des habitants alors que la proximité est essentielle pour assurer la tranquillité de toutes et tous au quotidien.
Les investissements et coûts de fonctionnements des caméras explosent avec nos impôts.
Pour quel bilan objectif ? Pour quel taux d’élucidation ?
Les violences ont augmenté entre 2020 et 2024 comme les coups et blessures volontaires de plus de 29% et le nombre de plaines pour violences sexuelles de + 252%. Où sont les promesses de création de médiateurs de rue prévue pour 2022, de résidences suffisantes pour protéger les femmes victimes de violences conjugales ?
SANTÉ, ORDONNANCE À REVOIR
Trouver un pédiatre, un gynécologue, un dermatologue ou un psychiatre reste un vrai défi.
Les urgences de Foch sont surchargées par le manque de personnel à tel point qu’elles ont été fermées à l’été 2024.
La situation critique à la résidence de la Chesnaye perdure malgré la mobilisation des organisations syndicales. Le taux de départ de soignants face à la méprise de la direction se fait au détriment des résidents et de leur famille. L’inaction du maire, pourtant à son conseil d’administration, est consternante.
Aucune construction de maison de retraite pendant le mandat contrairement à la promesse du maire. Inquiétant pour nos aînés
ÉQUIPEMENTS SPORTIFS, ON COULE !
On coule ! Piscine dépassée dont on ne compte plus les fermetures sanitaires et techniques au détriment des scolaires, travailleurs et résidants suresnois. A cela s’ajoute l’illusion d’un bassin provisoire, aussi coûteux qu’aberrant d’un point de vue écologique, à l’esplanade de l’abbé Franz Stock. Toujours pas de première pierre du centre aquatique promis dans le contrat de mandat !
Toutes les associations sportives de Suresnes jalousent la pena du Rugby Club Suresnois, la réhabilitation du terrain et de la tribune, alors qu’elles redoublent d’efforts pour féminiser et développer le handisport. Pour elles, difficile d’avoir de la visibilité sur leurs subventions.
Les gymnases sont saturés et posent des difficultés tant pour les scolaires que pour les séniors alors même que l’air est souvent pollué pour pratiquer du sport en extérieur.
Les cours d’écoles restent fermées les weekends et pendant les vacances malgré le manque de gymnases
ÉCONOMIE, DES RESSOURCES MAL UTILISÉES
Les Suresnois ont l’impression qu’on leur fait les poches avec des impôts et taxes locaux qui ont fortement augmentés entre 2020 et 2025.
Pour certaines familles, c’est le rationnement des quantités à la cantine, pour d’autres, le racket organisé, avec des amendes de stationnement qui ont été multipliées par 4 entre 2020 et 2024. Au lieu de sanctionner les stationnements dangereux, les dépôts de déchets sauvages et les incivilités, le maire préfère faire la traque aux PV et rendre payantes toutes les places de parking.
5 ans de mandat et toujours pas de tiers lieu, ni pépinière d’entreprises, ni lieu de coworking malgré les promesses faites. La soirée annuelle des entreprises de Suresnes n’est toujours pas en place.
Malgré les attentes fortes des Suresnois de commerce de proximité, 91 commerces à céder ou à vendre en mai 2025.
Ce n’est pourtant pas un problème de budget qui empêcherait de bien investir et d’assurer le bon niveau de services aux Suresnois. En effet le budget de Suresnes pour 2024 était de 165 millions d’euros, soit 15% de plus que le budget par habitant de Saint Cloud et 10% de plus que celui de Boulogne. C’est un problème de choix politique !
ÉCONOMIE, DES RESSOURCES MAL UTILISÉES
Les Suresnois ont l’impression qu’on leur fait les poches avec des impôts et taxes locaux qui ont fortement augmentés entre 2020 et 2025.
Pour certaines familles, c’est le rationnement des quantités à la cantine, pour d’autres, le racket organisé, avec des amendes de stationnement qui ont été multipliées par 4 entre 2020 et 2024. Au lieu de sanctionner les stationnements dangereux, les dépôts de déchets sauvages et les incivilités, le maire préfère faire la traque aux PV et rendre payantes toutes les places de parking.
5 ans de mandat et toujours pas de tiers lieu, ni pépinière d’entreprises, ni lieu de coworking malgré les promesses faites. La soirée annuelle des entreprises de Suresnes n’est toujours pas en place.
Malgré les attentes fortes des Suresnois de commerce de proximité, 91 commerces à céder ou à vendre en mai 2025.
Ce n’est pourtant pas un problème de budget qui empêcherait de bien investir et d’assurer le bon niveau de services aux Suresnois. En effet le budget de Suresnes pour 2024 était de 165 millions d’euros, soit 15% de plus que le budget par habitant de Saint Cloud et 10% de plus que celui de Boulogne. C’est un problème de choix politique !
UNE EQUIPE MUNICIPALE QUI FAIT SEMLANT D’ECOUTER
Nous saluons la possibilité de parler directement aux élus via la mairie mobile, mais le mieux serait d’avoir des réponses de leur part.
Nous déplorons la suppression de la moitié des panneaux d’affichage libre. N’est-ce pas là un signal contradictoire quand on prétend promouvoir la démocratie ? Les bilans annuels par quartier promis par le maire dans son contrat de mandat ne sont pas mis en place.
Que dire des outils de démocratie participative ? Le conseil des aînés promis est toujours à l’état de promesse, ce qui n’empêche pas la ville de se lancer dans l’obtention d’un label ville « amie des aînés ». Le conseil économique, social et environnement de Suresnes (CESES) a produit 2 travaux en 5 ans. Les conseils de quartier (CQ) sont opaques dans leur désignation, fermés et les derniers comptes-rendus datent d’1 an. Ces derniers démontrent combien les idées sont imposées par la mairie, sans réelle contribution des citoyennes et des citoyens.
Le budget participatif a été annulé l’an dernier. Il faut dire que les lauréats doivent attendre fort longtemps pour voir leurs projets réalisés après un parcours du combattant pour que leur idée soit soumise (ou pas) au vote des Suresnois.
De la communication avant tout. Pas étonnant quand on sait que l’adjointe à la démocratie participative est également adjointe à la communication !
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Suresnes verte et écologique

La démocratie à Suresnes

Les loisirs à Suresnes
